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Quand le soleil se lève...
Je suis née le 4 juillet 1993 à Manchester. Mes parents n'étaient pas très riche. Voir même pauvre. Nous vivions dans un petit appartement de 50 mètres carrés. C'était en réalité un petit studio. Mes parents ne pouvaient pas m'acheter tout ce dont je rêvais mais ils me donnaient en échange tout l'amour dont j'avais besoin pour vivre. Et vous comprenez bien qu'a 3/4ans, tout ce qui compte c'est l'amour de nos parents. C'est vers 5 ans que mon père perdit son boulot et que l'on alla vivre à Bronx. Heureusement mon père retrouva un job quelques temps après. Ma mère économisé de l'argent depuis très longtemps pour pouvoir m'emmener un jour voir un autre pays et pouvoir découvrir mes cousins. C'est comme ça qu'a l'âge de 6 ans - pour mon anniversaire plus précisément - j'allais à Haway. C'était un voyage très très cher, et je savais que ma mère avait tout donné pour nous l'offrir. Je savais aussi que tout ce que l'on ferait ici, tout les petits cocktails qu'on se payerait, on ne pourrait plus jamais recommencer par la suite. Parce que, même si je travaillais bien à l'école et que j'avais des facilités -Eh oui ! Parce que l'on peut avoir des facilités en CP, même si ce n'est pas très dure-, ma mère avait commencé à économiser de l'argent pour mes études, mais nous savions bien qu'il en fallait beaucoup plus qu'elle ne pourrait en mettre tout au long de sa vie, pour me payer des études. J'ai beau bien travailler, si l'on a pas l'argent qu'il faut pour financer mes études, on ne peut pas aller bien loin.
Quoi qu'il en soit je profitais un maximum de la semaine que nous étions en train de passer.
Quand la chute d'eau tombe...
La fin de notre séjour sur cette île paradisiaque aller prendre fin demain. Pour cette dernière journée, nous avions décidé d'aller faire une petite visite de l'île que nous ne reverrions surement jamais.
Après avoir passé des journées entières à me dorée au soleil, je pouvais constater avec fierté que j'étais bien bronzée.
Notre avion étais prévu à 10h30. Ce qui ne nous laissait pas beaucoup de temps pour le prendre.
Arrivé à l'aéroport, nous étions vraiment très pressé. Nous risquions de louper notre avions si nous ne nous dêpachions pas. C'est pour cela que nous parcourûmes toute l'aéroport en courant. Inutile de vous dire que c'est très fatiguant.
Je ne vous ais pas dis la cause de notre retard à l'aéroport.
C'était juste au moment ou je devais prendre ma douche que le robinet se mit à fuir. L'eau jaillsait de partout. Nous avons donc appeler la dâme d'accueil, qui avait appelé le techinicien, qui lui même avait fait un malaise sous la douche la veille. Il arriva donc en retard.
Au moment de notre départ de l'hotel, le problème n'était toujours pas réglé, mais ils nous avaient laissés partir pour pas que nous loupions notre avions. En même temps, si nous le loupions parce qu'ils nous avaient retenus, ça serait eux qui auraient dût nous en repayer un autre. Et réparer une simple fuite d'eau coûte beaucoup moins chère que 3 billets d'avion pour Manchester.
Nous avions pût en vain quitter l'Hotel. Seulement, à l'aéroport, je courrais et je finis par glissé sur une zone lavé par la femme de ménage qui était elle-même arrivé en retard à cause du fuite des canalisations de sa rue.
Je me tordis donc la cheville et je ne pouvais plus courir. Nous allâmes donc beaucoup moins vite et nous ratâmes -comme il était prévu notre avion -.
J'avais de plus en plus mal, nous fîmes donc obligé d'appeler une ambulance, qui me conduisit à l'hôpital. ma mère m'avait accompagné pendant que mon père essayait de négocier pour se faire rembourser les billets. Ma mère lui envoya -à l'aide de son téléphone tout pourrit - un texto pour lui dire que j'allais être obligé de rester la nuit à l'hôpital. Ça tombait bien parce que mon père n'avait pas réussit à se faire rembourser les billets, mais à avoir d'autres billets pour un avion qui partirait à 15h00 le lendemain.
Comme j'étais obligé de rester dormir ici jusqu'au lendemain et que le repas de l'hôpital était infecte, ma mère décida qu'elle allait aller me chercher un sandwich en ville et qu'elle essayerait de trouver mon père pour l’amener à l'hôpital. Elle me promit qu'elle serait rentré avant 16h00.
Il était 12h00 quand celle-ci partit. Et les 4 heures passèrent tellement lentement que j'eux l'impression de voir passer une éternité. Ma mère avait dût mettre longtemps pour sortir du parking de l'hôpital car, quand elle était sortit, il y avait un bouchon qui duré déjà depuis 30 minutes et qui dura encore 30 minutes après.
C'est vers 15h50 que j'entendis des gens s'affoler et courir dans les couloirs. Et puis je m'endormis. Je fus réveillé parce que je sentis comme de l'eau couler en-dessous de ma main. Je l'avais laisser prendre en-dehors de lit.
Je fus obligé d'ouvrir les yeux car cela attira ma curiosité. L'eau ou l'autre liquide que j'étais en train de toucher était particulièrement froid.
Je laissa échappé un petit cris de surprise à mon réveil, mon lit, et même ma chambre entière beignet dans l'eau. Il y avait une bonne vingtaine de centimètres.
Je n'avais pas vu le temps passer, mais il était déjà 16h30, et l'hôpital paraissait déjà tout calme. D'habitude, à cette heure-ci, les hôpitaux son surchargés. Et les employer courent dans tout les sens, c'est à peine s'ils on le temps de nous voir.
Je ne pouvais pas me lever, mais quelques minutes plus tard, quelques hommes arrivèrent. Ils étaient habillés en sorte de pêcheurs. Avec un grande blouse, à première vue en caoutchu, qui paraissait trop grande pour eux. Accompagné d'une paire de bottes qui leurs arrivait jusqu'au genoux. Ils coururent vers moi avec peine, lorsqu'ils me virent. Ils me demandèrent si j'allais bien et prirent mon nom. Un seul d'eux continua à me parler pendant que les autres étaient partie parcoururent les autres pièces. Mais moi je n'écoutais pas ce qu'il me disait. Je n'en avais rien à faire de ce qu'il me disait, moi, tout ceux que je voulais voir c'était mes parents. Quand je lui demanda, il regarda dans la liste ou il avait écrit mon nom lorsque je lui avais dis. Il ne me répondit pas. A la place de cela, il m'expliqua ce qu'il venait de se passer. Le boum, les cris et les bousculades dans les couloirs et dehors, puis je l'eau...Je compris enfin ce qu'était en réalité la liste ou il avait prit note de mon nom. C'était la liste des survivants de cette horrible catastrophe naturelle qu'il venait de se passer. Ce que l'on appelle chez nous, un Tsunami.
Quand la feuille se retrouve face à son destin...
Je dû prendre un l'avion que mon père avait réussit à négocier. Et celui-ci me conduisit tout droit en direction de Manchester. Dans l'avion j'avais peur, très peur. Non pas de l'avion, mais parce que, contrairement à l'allé, j'étais seule. Mes parents ne se trouvaient pas avec moi. Et le pire, c'est que je savais que j'avais très peu de chance de les revoir, pratiquement aucune même.
Une fois arrivé à Manchester, un monsieur me dit d'attendre là ou j'étais pendant qu'il alla parler à un monsieur en me montrant sans cesse du doigt. On m'emmena par la suite je ne sais ou.
J'étais dans la voiture et je me contentais de regarder le paysage défiler sous mes yeux. C'est quelques secondes après être rentré dans dans une grande propriété, que nous arrivâmes devant une grande maison blanche que nous nous y arrêtâmes devant.
C'est dans cette maison que je passa mais 2 prochains moi.
A chacun son nouveau départ...
C'est alors que, 1 mois et demi après mon entré dans cet endroit bizarre, une couple vint visiter cette maison. Ou autrement appelé orphelinat. J'étais ne train d'étudier dans la grande salle quand je les vis pour la première fois. Ils me sourirent puis partirent continuer leur visite. C'est alors que 2 semaines après, ceci revinrent et allèrent me parler. Ils me demandèrent si je les trouvés gentil, et si ça me plairait de venir chez eux. Evidemment que ce la me plaisait, même si j'aurais nettement préféré me trouver un compagnie de mes parents biologiques, aller avec mes futures parents ma revirerait surement mieux que de rester ici.
Je resta avec cette famille.
Avec mes parents.
Ils sont vraiment très gentils, je les adores. Ils m'offrent tous ce que je souhaite. Et cela depuis mon adoption, je suis leur fille unique. Etant stérile, mon père ne peut pas avoir d'enfant. Il avait donc décider avec son épouse, ma mère, d'adopter un enfant. En l’occurrence, moi.
J'ai toujours gardé en moi les marques du passé que m'ont provoqués, le Tsunami, la perte de mes parents, l'arrivé dans une une nouvelle famille.
Le plus bizarre, je pense que c'est le fait de changer de niveau de vie. Dans ma nouvelle famille, mes parents son propriétaires d'une dizaine d’Hôpitaux qui recouvrent la moitié de la surface du pays. Nous faisons donc partie de la haute société.
Quoi qu'il en soit, je ne suis pas du genre à rebuter tous les malheurs du monde sur moi. Ce qui est arrivé à Alison Dilaurentis, et aussi tragique que pour mes proches.